Oedipe
Heimat
Mardi 8 avril 2008 à 21:12
Dimanche 6 avril 2008 à 16:35
Le tableau d'une maternité est réjouissant, le bébé, l'enfant, donne une image de vie qui commence. La pureté de la représentation nous envahie et la vierge n'est pas vue comme une femme vielle, fatiguée et impure mais comme un être ayant donné la vie, fraîche et immaculée. La scène est apaissante, rassurante. Mais quand l'histoire du bambin nous revient à l'esprit, la scène se transforme peu à peu, le sentiment tranquille disparaît à l'allure d'une peau de chagrin. L'image de la vie a fait place à celle de la mort. La maternité est devenue l'érection de la croix, la crucifixtion de l'être pourtant intouchable, la descente de la croix, les pleures de Marie. La Sainte vénérable est ravagée par la peur, la tristesse, le désarroi.
La pieta - Michel Ange.
Dimanche 6 avril 2008 à 14:43
J' vois trop de gens
Je me fous de leur vie
J'ai pas le temps
Je suis si bien dans mon lit
Dimanche 6 avril 2008 à 14:16
J'aime Plus Paris - Thomas Dutronc
J'fais le plein d'essence
Je pense aux vacances
Je fais la gueule
Et je suis pas le seul [..]
J'aime plus Paris
Non mais on se prend pour qui ?
J'veux voir personne
Couper mon téléphone
Vivre comme les nonnes
J'parle pas de John [...]
J'irais bien voir la mer
Ecouter les gens se taire
J'irais bien boire une bière
Faire le tour de la Terre
J'aime plus Paris
Non mais on se prend pour qui ?
J' vois trop de gens
Je me fous de leur vie
J'ai pas le temps
Je suis si bien dans mon lit
Pourtant Paris
C'est toute ma vie
C'est la plus belle
J'en fais le pari
Il n'y a qu'elle
C'est bien l'ennui
J'aime plus Paris.
